La crise du logement et l'échec de Trudeau
Avec Justin Trudeau, la vie coûte plus cher pour tout le monde. Il parle pourtant de crise du logement sur toutes les tribunes, mais ne fait jamais rien.
En mai, l'inflation au pays a grimpé à 3.6%, du jamais vue en une décennie! Cette hausse fulgurante est en partie attribuable à la surchauffe du marché de l'immobilier qui compromet sérieusement l'accès au logement pour des milliers de Québécoi.es. La vie étant toujours plus chère, les gens ne peuvent tout simplement pas économiser pour s'acheter une maison.
Pire encore, trop d'investisseurs achètent de l'immobilier dans le but de réaliser des profits indécents, privant ainsi des milliers de familles d'un toit sur leur tête. De récents rapports suggèrent que, au pays, une maison sur cinq est achetée par des investisseurs et des spéculateurs, contribuant ainsi d'autant plus à la surchauffe et à la crise du logement qu'on vit partout au pays.
Même les incitatifs des libéraux visant à soutenir les premiers d'acheteurs d'une propriété ne fonctionnent pas tellement la situation est critique. Ça prouve encore une fois que les libéraux ne proposent que des demi-mesures pour s'attaquer au problème.
Les libéraux nous parlent de crise du logement, mais n'agissent pas en conséquence pour soutenir les gens. Il diront qu'ils ont prévu une taxe pour des maisons vacantes de non-résidents dans leur dernier budget. Mais le hic, c'est qu'elle n'entrera en vigueur qu'en 2022 et qu'elle ne sera que de 1%. Encore des demi-mesures libérales qui ne changeront rien.
Les logements et les maisons au pays doivent servir à loger les gens, pas à réaliser des profits pour de riches investisseurs.
Les Québécois.es méritent mieux et ont besoin d'un premier ministre qui s'occupe du vrai monde, pas des ultra-riches.