14 fois, Justin Trudeau a permis aux ultra-riches de s’en tirer à bon compte
Il refusé d’intervenir contre les hausses de frais des cinq grandes banques canadiennes en plein milieu de la pandémie, alors que leurs profits explosaient.
Il a fait équipe avec Erin O’Toole pour voter contre l’imposition des ultra-riches.
Il a laissé les grandes entreprises se servir de la Subvention salariale d’urgence pour verser des millions à leurs PDG.
Il a laissé les géants du web, comme Facebook ou Amazon, profiter des Canadiennes et Canadiens et payer peu ou pas d’impôt.
Son gouvernement n’a porté aucune accusation contre les riches fraudeuses et fraudeurs fiscaux depuis six ans.
Il a laissé les milliardaires accroître leur richesse de 78 milliards de dollars pendant la pandémie, sans le moindre contrôle.
Il a laissé 30 entreprises utiliser la Subvention salariale pour verser 2 milliards de dollars aux actionnaires rien qu’entre avril et septembre, alors qu’elles avaient licencié des travailleuses et travailleurs.
Il a réduit les vérifications des grandes entreprises qui fraudent le fisc.
Il a promis de sévir contre les riches spéculatrices et spéculateurs immobiliers dans le budget 2020, mais ne l’a pas fait, et le prix moyen des habitations a augmenté de 149 800 $.
Il a augmenté les subventions annuelles moyennes aux énergies fossiles de 900 millions de dollars par rapport aux chiffres de Stephen Harper.
Il a rompu son engagement de ne pas verser de prestations dans le cadre de la COVID aux riches fraudeuses et fraudeurs fiscaux.
Il a donné 12 millions de dollars de fonds publics au géant de l’épicerie Loblaws, moins de deux ans après que celui-ci eut admis avoir participé à un stratagème de fixation des prix.
Il a essayé de protéger SNC-Lavalin contre des poursuites criminelles.
Il a protégé les grandes entreprises de télécommunications et a voté contre l’élimination des prix abusifs imposés par les trois géants.
Il y a eu d'autres fois aussi, mais vous voyez l'idée.