Contribution santé au Québec Le premier ministre canadien joue de prudence, l’opposition aussi
« Est-ce que c’est un premier pas vers un financement de notre système de santé qui serait en fonction du risque ou du poids de services qu’une personne représente ? On ne voudrait pas que ça devienne une espèce de principe de privatisation de la santé, d’utilisateur-payeur. Est-ce le bon moyen ? On a des doutes. - Alexandre Boulerice, député néo-démocrate, en entrevue mercredi »